Ce feu que ravive ton sourire d’aurore
L’arc-en-ciel de l’espoir et la folie d’y croire
Mes faux-pas mes revers mes échecs mes déboires
L’envie d’en revenir et de rêver encore
Mes désirs censurés sur ces jours qui se fanent
Ton corps comme une métaphore inassouvie
Mes brassées de rimes en guise de survie
Ton plaisir consumé où gît mon cœur en panne
L’ennui quotidien avec sa gangue de froid
L’utopie soleil clandestin qui vibre en moi
Lorsque nues mes pensées se hissent sur tes seins
Cet horizon rose d’un unique destin
Cette aube infinie et ses soupirs de satin
Amour je m’offre en vrac à tes secrets desseins
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